2014-09-20 18:36:00

La Revue de la presse catholique africaine Dimanche 21 septembre 2014


La revue de la presse catholique africaine de ce dimanche nous conduit essentiellement dans trois pays, la République démocratique du Congo, l’Afrique du Sud et le Sénégal:

Comme on sait, la conférence épiscopale du Congo vient d’effectuer sa visite ad limina. Rendant, en quelque sorte compte, de cette démarche auprès du tombeau des Apôtres, les Evêques congolais ont adressé un message au peuple des fidèles, et que l’on lit sur CENCO. « Lors de nos rencontres avec le Saint-Père, le Pape François, nous avons partagé avec lui les joies et les espoirs, les peines et les souffrances du peuple de Dieu confié à notre sollicitude pastorale. Le Saint-Père nous a assurés de ses prières pour notre pays, ses dirigeants et son peuple », indiquent les Evêques. Mais ils soulignent, et je cite : « pour nous, l’avenir heureux de la RD Congo réside incontestablement dans le respect de la Constitution, Loi fondamentale et socle de notre jeune démocratie. C’est pourquoi, nous réaffirmons notre opposition à toute modification de l’article 220, article verrouillé de notre constitution »…

Suivant ce que nous lisons sur AFRIDOM’S Flash, le bulletin des Dominicains d’Afrique qui nous l’annonce avec quelque retard, depuis le 8 septembre dernier l’Ordre des prêcheurs compte son premier dominicain zambien. Il s’agit du frère Clement  Mweni qui a fait sa profession solennelle dans la chapelle d’Emaphethelweni, en Afrique du Sud.

Durant la semaine s’est déroulé un événement ecclésial d’importance au Sénégal : la 38è assemblée générale du clergé sénégalais qui, pendant quatre jours à Poponguine, a réfléchi sur le thème de « Le prêtre sénégalais face aux nouveaux défis de la famille ».

SENEGLISE, le portail de l’Archidiocèse de Dakar reproduit le communiqué final des travaux. Il y est affirmé qu’au sortir de ces assises, le clergé sénégalais a pris conscience de la nécessité de « promouvoir et soutenir la persévérance dans l’accompagnement des familles ; inscrire la préparation des mariages dans la durée ; revaloriser la célébration des fiançailles chrétiennes, des mariages et des anniversaires de mariages ; éduquer les jeunes garçons et filles à la vie familiale ; s’informer sur les coutumes des différentes ethnies concernant le mariage pour mieux les connaître et les évangéliser; valoriser nos réalités socioculturelles de solidarité pour faciliter l’engagement au mariage ; garder la vigilance pastorale devant les idéologies véhiculées, qui menacent la famille ; maintenir des convictions fortes et donner la bonne information sur les questions de morale chrétienne ».  

A la semaine prochaine ! 








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