2015-02-08 18:34:00

Sainte Bakhita pour promouvoir la lutte contre «l’esclavage»


(RV) Le Pape François, lors de l’Angélus de ce dimanche 08 février 2015, Mémoire de Sainte Joséphine Bakhita, a notamment invité à prier un Ave Maria pour les victimes de la Traite humaine. La journée de dimanche a ainsi vu l’organisation de plusieurs activités de prières, promues par l'Union des supérieures et supérieurs généraux des instituts religieux, l’organisation Talitha Koum, et le Bureau pour la promotion de la justice des Franciscains.

C’est la figure de Sainte Joséphine Bakhita, canossienne, née au Soudan en 1869, qui mourut à Schio en Italie en 1947, et qui a connu « les angoisses de l'enlèvement et de l'esclavage », qui a été prise en modèle.

Rappelons en ce qui concerne la sainte dont on célèbre la mémoire en ce jour, que Bakhita n'est pas le prénom qu'elle reçut de ses parents à sa naissance. La terrible expérience qu’elle vécut lui a fait oublier son prénom. Bakhita, qui signifie «fortunée», est le prénom qui lui fut donné par ses ravisseurs.

Au soir de sa vie, elle revécut les jours terribles de son esclavage, et ce fut la très Sainte Vierge Marie qui la libéra de toute souffrance. Ses dernières paroles furent: «Notre Dame!Notre Dame!», tandis que son ultime sourire témoignait de sa rencontre avec la Mère du Seigneur.

Une foule accourut rapidement à la maison de l'Institut pour voir une dernière fois leur «petite Mère noire» et lui demander la protection du ciel. Sa réputation de sainteté s'est désormais répandue sur tous les continents. Et nombreuses sont les grâces obtenues par son intercession.

La sœur Canossienne togolaise Richarde Benissan, a bien voulu au micro de Honoré Onana Olah, nous parler de Bakhita et de cette initiative de prière:

 








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