2015-06-28 13:33:00

La douleur de François après les attentats en Tunisie, en France et au Koweït


(RV) Journée noire ce vendredi. Le Pape a chargé son Secrétaire d’État, le cardinal Pietro Parolin, de faire parvenir trois messages aux personnes concernées par les attaques qui se sont produites en Tunisie, au Koweït et en France.

À la suite de l’attentat qui s’est produit dans un hôtel à Sousse, qui a fait 38 morts et qui a été revendiqué par l’État islamique  « Sa Sainteté le Pape François s’associe par la prière à la peine des familles endeuillées et à la tristesse des Tunisiens. Il confie les victimes à Dieu, plein de miséricorde, le priant de les accueillir dans sa lumière. Il exprime sa profonde sympathie aux personnes blessées et à leurs familles, demandant au Seigneur de leur apporter réconfort et consolation dans leur épreuve. Le Saint-Père condamne à nouveau la violence qui engendre tant de souffrances, et demandant à Dieu de faire le don de la paix, il invoque l’abondance des Bénédictions divines sur les familles éprouvées et sur les Tunisiens. »

Au Koweït, première attaque ciblant un lieu de prière fréquenté par des chiites dans ce riche émirat pétrolier à majorité sunnite. Un attentat revendiqué également par Daech a visé une mosquée chiite de la capitale, faisant 27 morts et 222 blessés.

« Profondément attristé »  par cette nouvelle, par la « perte tragique de vies humaines », le Pape offre ses « ferventes prières pour les victimes et pour tous ceux qui pleurent ». Le Saint-Père, déplorant de tels actes barbares, « demande à ce qu’on transmette sa proximité spirituelle aux famille touchées par ce moment de douleur et encourage le peuple du Koweït à ne pas perdre leur force d’âme face au mal et invoque sur la nation l’amour consolateur et soignant du Tout Puissant », écrit le cardinal Parolin.

Enfin, apprenant l’attentat survenu à Saint-Quentin Fallavier, en Isère, en France, le Pape s’est associé par la prière à la peine des proches des victimes, particulièrement de ceux qui ont perdu un être cher. Il confie à la miséricorde de Dieu la personne qui a perdu la vie, exprimant sa « profonde sympathie aux personnes blessées et à leurs familles, demandant au Seigneur de leur apporter réconfort et consolation dans leur épreuve ».

François condamne une nouvelle fois la violence qui génère tant de souffrances, et demandant à Dieu de faire le don de la paix, il invoque sur les familles éprouvées et sur les Français le bienfait des Bénédictions divines.








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